Loup

C'est une histoire longue, et malheureusement pleine de trou... quand j'y repense maintenant que je suis devenu druide... comme j'ai erré...

tout a commencé il y quatre ans ou était-ce cinq? toujours est il qu'à cette époque j'était hirdman. vous ne savez peut-être pas ce qu'est un hirdman? c'est une sorte de mercenaire. mais attention, chaque contrat signé, chaque parole donné c'est une affaire honneur que de le mener à bien. j'avais eu un contrat pour un conflit contre les forces d'un autre jarl. Chaque homme devait être préparé selon des rites des sorcier de bataille. une peinture du dieu de la guerre parachevais le rite. sur moi cette peinture parrut bouger un instant puis eu des reflets rougeatre qui surprire les sorciers un instant. insouciant que j'était, je n'en avais pas fait cas. je me rappel mal cette bataille. tout y est plus sensation que souvenir: du sang dans la neige... une lame a chaque main... une percée dans les rangs adverse... la tête du jarl dans ma main... puis... la victoire. ce fut une fete comme jamais je n'en ai revu... ca pour sur... je n'ai jamais vraiment tenu l'alcool...
quand je me suis éveillé il faisait noir, des chaines reliaient mes mains et mes pieds. j'avais été drogué. puis mener dans la seule cité du monde où tout pouvait se monayer même une vie humaine, maryenburg. abruti par les drogues j'ai mit longtemps a comprendre que j'avais été vendu par les miens. j'avais toujours été différent, ma peau sombre m'ayant valut le nom de Bolgovar, le sombre. différent au point d'être vendu? non j'avais réussi des années durant a m'intègrer. je me suis alors dit que je devais être trop bon, que je faisais de l'ombre aux autres hirdmen. je n'ai pas cheché plus loin...
j'ai été déplacé dans un navire, une sorte de vaisseau magique qui contenait en son sein un arène. tel fut ma vie a partir de là... celle d'un gladiateur. je ne m'en suis jamais vraiment plain... j'était bon et on prennais soin de moi entre les combats, il falait qu'il y ai du spectacle a chaque fois... ca a duré trois ans... la marque d'Ulrich ne pouvait disparaïtre et j'en fut rebatisé Loup. la seule chose qui restait de mon passé était mon médaillon, une grosse pierre avec un symbole sur une coté et un mot de l'autre.
quand je dit que j'était bon ce n'est pas que de l'esbrouffe. d'autant que je puisse m'en souvenir, je n'ai perdu aucun combat de mes trois années. dans les grandes occasion on me laissai arborer les peintures tribal de mon peuple, cette touche barbare ajoutais au plaisir du publique. quand a moi ca m'a permis de conserver une appartenance, à mon peuple, à mes racines, à ma raison.
puis est venu ce combat. c'était un jour spécial, on m'avait peint et armuré, dans l'arene on m'avais aclamé dès mon entrée. mais mes adversaires étaient de taille: un orgre, un troll et ... un géant. c'était "le combat des titans" comme ils l'avaient appelé et malgrès mes presque deux mètres je restait le plus petit des béligerants. je m'occupais proprement de l'ogre alors que le géant s'esquintais sur le troll. dans la mélée je fut désarmé alors que l'arme du géant fut détruite, il en fut de même pour nos armures. et le combat se fit en un contre un sans aide de quoi que ce soit... j'aurais dut mourir, car d'un seul revers de main le géant m'avais asséner un coup mortel. mais je me suis relevé et j'ai combattu comme un loup acculé et prêt a mourrir, et finalement j'ai vaincu. la mort est pour les perdant dans ce jeu. ainsi encore une fois j'avais survécu. mais a l'issue de ce combat il y eu de l'agitation dans la foule... le bateau se faisais attaquer. les parois de l'arene se firent soudain détruite comme un boulet de canon par les machoires énorme d'un requin surdimensionné. il y eu abordage, j'ai combattu, mais trop longtemps j'avais pris l'habitude de me battre dans des endroits définis ainsi que face à nombre d'adversaire fixe. je tombais a l'eau, raillé par les pirates. je voyais au ralenti ma chute vers les eaux où un requin allait mettre fin a mes jours... et là je ne sut pas ce qui m'arriva mais je vis le ciel et le sol comme si je volait. la mine déconfite des pirates et le bateau-arene en train de couler je m'en éloignait le plus possible...
Je pris conscience de moi alongé sur une plage... la pointe d'une fine penninsule. j'entrepris alors de rejoindre le nord, poussé par une volonté dénuée de but. j'avais passé trois années a me laisser nourrir, je ne savais plus chasser, ni simplement survivre. quand j'arrivais en vue d'une ville ce fut avec un certain soulagement. je n'avais rien, juste ma force même pas d'arme. j'y proposai quand même mes services et on les pris avec méfiance. on me mit a un poste d'ouvreure de porte... seul alors qu'eux ne pouvaient le faire qu'à trois minimum. alors que, m'ennuyant, je cherchais a passer le temps il se passa une chose extraordinaire. une zone claire se délimita autour de moi chacun des hommes qui passaient autour de moi se mirent a fuire sans comprendre pourquoi. surpris moi même l'effet se dissipa, et on me plaça aux arrets. on me traita d'espion et je me retrouvais a nouveau dans une salle noire les fers aux mains...

j'était seul dans une obscuritée totale. seul? non, je me rendais compte aprés avoir reçu une ration de pain, probablement rassie, qu'il y avais aussi des rats. je ne voyais rien mais eux je les entendais je voulu les chasser et un drole de bruit de fracat se fit entendre... en récuperant ma gamelle je percu comme une étrange humidité glacée, il y avait des grélons sur le sol. encore un phénomene inexpliqué de plus me disais-je alors, avant de me concentrer sur ce que j'allais tenter : une évasion. depuis que je suis tous petit j'ai une sorte d'emprise sur les animeaux, j'aurais bien pus être dresseur. j'éssayait donc de faire comprendre aux rats qu'il me fallait la clef... peine perdu m'avait-il semblé... sauf qu'en fait ils revinrent avec la dite clef. c'est alors que je tentais de me faufiler jusqu'a l'expérieur... mais je fut repris. il faut dire qu'en fait de "faufiler" je tentais d'assomer tout les gardes les un après les autres... ca ne me pas vraiment servi. je fut placé en plus grande surveillance jusqu'a ce qu'on décide de mon sort et ce fut très rapide... un avait décidé de me balancer dans le milieu d'un fleuve avec des poids attaché au pieds et aux mains.
C'est dans le froid de l'eau que je pus sortir ma tête du sac qu'on m'avais mit pour que je résiste moins, ou plutot que je soit plus facile à maitriser. alors que je commencais a suffoquer, je le vis... il s'avancais vers moi tout doucement, sous l'eau sans paraitre géné pour respirer. un majestueux loup a la fourrure évanescente et au yeux resplendissant d'un éclat ambré. "tu attend quoi?" m'avait il dit "tu veux mourir ici?". je secouais la tête pour lui faire comprendre que non. comme c'était étrange, lui qui parle et moi qui gesticule, nous avions des rôles inversé. "qu'attend tu alors? fait comme sur le bateau... nage... comme un poisson.". je ne comprenais pas mais je m'attelais a cette tache... puis d'un coup j'arrétais de me noyer... les liens se relachèrent je je pus nager loin de tous ceci. il ne falait pas que je remonte tout de suite ou alors loin... qui sait si ils n'étaient pas là a attendre... je parti donc en amont du fleuve.
quand je sortit de l'eau l'etrange loup n'était plus là. par dessus la cime des arbres je voyait se profiler une montagne au loin... au nord... j'en pris la direction. hélas cette montagne restait bien loin et la foret semblait interminable. ce fut quand je cru mourir de faim qu'il se manifesta a nouveau, le loup. il m'appris... qui il était c'est à dire Le Loup... que nous étions lié... comment survivre dans cet environnement... a partir de là celui qui se laissa surnommer Totem continua a m'accompagner tout le long de mon voyage, peut-être ne m'avait-il jamais quitté en fait. fort de nom nouveau savoir je m'élancait a la capture de proie... et cette nuit là je me couchait le ventre rassasié. j'eu un songe... deux lueurs... une bleuté, l'autre rougeatre... tournaient emsemble autour de moi et s'approchaient en me donnant un étrange sentiment de bien être.
après plusieurs jour de marche ou je découvris que la région avais son lot de gobelin, et par qui je m'était armé. j'arrivais a une sorte de forteresse dans la montagne d'où j'appris qu'on l'appelais "la voute"...