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La Nulnoise

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La Nulnoise Empty La Nulnoise

Message  Plix-Raph Lun 1 Déc - 13:44

La Nulnoise


Elle est appelée ainsi car cet antique chant de guerre impérial datant de la victoire de Sigmar fut repris en 2302 lorsque Magnus-le-Pieux lançant depuis Nuln son désormais mythique appel à la guerre : " Que tous les vrais fils et filles de Sigmar s'unissent maintenant, qu'il prennent les armes comme un grand peuple qu'ils sont et que jamais ils ne laissent les hordes du Chaos nous écraser, ni les Ténèbres Ultimes consumer notre terre. " et fut renommé à cette faveur.
C'est depuis l'Hymne Impérial officiel.



Allons enfants du grand Sigmar
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la Puissance Noire
L'étendard sanglant est levé ! ( bis )
Entendez-vous dans nos campagnes
Mugir ces féroces homme-rats ?
Qui viennent jusque dans vos bras
Dévorer vos fils, vos compagnes !

Refrain :
Aux armes fidèles sujets !
Formez vos belles rangées !
Marchons, marchons
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !


Que veut cette horde de chiens
De démons et de faux sorciers ?
Pour qui ces chaotiques liens
Ces fers dès longtemps préparés ? ( bis )
Sigmarites, ah ! Quelle rébellion
Quel transport il doit exciter ?
C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à l'antique corruption !

Refrain

Quoi ! Ces cohortes gobelines
Feraient la loi dans nos foyer !
Quoi ! Ces phalanges mesquines
Terrasseraient nos fils guerriers ! ( bis )
Sigmar ! Par des mains enchaînées
Nos fronts sous le joug se ploiraient
De viles créatures deviendraient
Les maître de toute destinée.

Refrain

Tremblez manants et vous perfides
L'opprobre de tous les marquis
Tremblez ! Vos projets parricides
Vont enfin recevoir leur prix ! ( bis )
Tout est soldat pour vous combattre
S'ils tombent nos jeunes héros
L'Empire en produit de nouveaux
Contre vous tout prêts à se battre.

Refrain

Impériaux, en hommes de Bien
Portez ou retenez vos coups !
Epargnez ces tristes Bretoniens
A regret s'armant contre nous ! ( bis )
Mais ces horreurs sanguinaires
Brandissant les plus maudites armes
Tous ces monstres qui sans une larme
Déchire même le sein de la terre-Mère !

Refrain

Nous entrons dans la carrière
Quand nos aînés n'y seront plus
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus ( bis )
Bien moins jaloux de leur voyage
Que de partager leur cercueil
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger, ou voir Mórr avant l'âge !

Refrain

Amour sacré de notre Empire
Conduit soutient nos bras vengeurs
Liberté toi que l'on admire
Combat avec tes défenseurs ! ( bis )
Sous nos fanions, que la victoire
Accoure, et les Dieux du Jugement
Comme tes ennemis expirants
Voient ton triomphe et notre gloire !

Refrain :
Aux armes fidèles sujets !
Formez vos belles rangées !
Marchons, marchons
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !
Plix-Raph
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La Nulnoise Empty Le Chant des combattants

Message  Plix-Raph Mar 9 Déc - 15:07

Le Chant des combattants



Appelée aussi la Marche des Combattants, l'Histoire retient que c'est une musique de Marianna Arly ( inconnue exilée de Praag ) qui fut aussi son interprète, plus connue à l'époque sous le nom de Troubadour de la Résistance; sur des paroles du prince bâtard Manuel d'Hastier de la Vigerie, enfant déchu de la petite noblesse Bretonienne et Estalienne. Bien qu'on ne connaît la date exacte cette chanson n'aurait que quelques siècles et aurait été crée à l'occasion d'une des nombreuses invasions gobelines des Principautés Frontalières. Lors d'un siège particulièrement long à la Voûte, alors que l'espoir s'amenuisait une voix se fit entendre pour redonner courage et faire des anciens ennemis des alliés.
Devenue ainsi l'hymne des Principautés, elle célèbre l'union des différents princes et des différentes ethnies pour combattre et briser le joug des forces du chaos.



Ami, entends-tu
Le vol noir des corbeaux
Sur nos plaines ?
Ami, entends-tu
Les cris sourds du pays
Qu'on enchaîne ?
Ohé! combattantss,
Gens princiers comme paysans,
C'est l'alarme!
Ce soir l'ennemi
Connaîtra le prix du sang
Et des larmes !

Montez de la mine,
Descendez des collines,
Courageux !
Sortez de la terre
Les épées et les cimeterres,
Les épieux...
Ohé! les tueurs,
A la flèche et au couteau,
Soyez prompts !
Ohé! engingneur,
Attention à ton fardeau :
Nos cannons !

C'est nous qui brisons
Les haut murs des prisons
Pour nos frères,
La haine à nos trousses
Et la faim qui nous pousse,
La misère...
Il y a des pays
Ou les gens au creux de lits
Font des rêves;
Ici, nous, vois-tu,
Nous on marche et nous on tue,
Nous on crève.

Ici chacun sait
Ce qu'il veut, ce qu'il fait
Quand il passe...
Ami, si tu tombes
Un ami sort de l'ombre
A ta place.
Demain le sang vert
Séchera au grand soleil
Sur les routes.
Sifflez, Frontalières,
Dans la nuit la Liberté
Nous écoute...
Plix-Raph
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La Nulnoise Empty La Victoire en Chantant

Message  Plix-Raph Mar 9 Déc - 18:11

La Victoire en Chantant


Aussi appelée Chant du Départ. C'est une hymne à la guerre datant dit-on, de l'époque de Jeanne du Lac. Disparaissant petit à petit au fil des siècles, il fut totalement tombé en désuétude et presque oublié de tous sous le règne du Roi Charles de la Tête d'Or, Troisième du nom. Ce n'est que depuis son décès et la régence récente de la Reine que l'Hymne Royal renaît un peu partout en Bretonnie.
Entre parenthèse et souligné, ce ne sont pas des paroles mais quel personne chante chaque strophe.


( Un gouverneur du Roi )
La victoire en chantant
Nous ouvre la barrière.
La Liberté guide nos pas.
Et du Nord au Midi
La trompette guerrière
A sonné l'heure des combats.

Tremblez, ennemis de la Couronne,
Chefs ivres de sang et d'orgueil !
Le Ciel de nos feux résonne ;
Tyrans descendez au cercueil.


( Chant des guerriers (Refrain) )
La Royauté nous appelle
Sachons vaincre ou sachons périr
Un Breton doit vivre pour Elle
Pour Elle un Breton doit mourir. ( bis les deux dernières phrases )


( Une mère de famille )
De nos yeux maternels
Ne craignez pas les larmes :
Loin de nous de lâches douleurs !
Nous devons triompher
Quand vous prenez les armes :
C'est au Mal à verser des pleurs.

Nous vous avons donné la vie,
Chevaliers, elle n'est plus à vous ;
Tous vos jours sont à la patrie :
Elle est votre mère avant nous.


(Refrain)


( Deux vieillards )
Que le fer paternel
Arme la main des preux;
Songez à nous au champ d'Ulric;
Consacrez dans le sang
Des traîtres et des gueux
Le fer béni par les canoniques;

Et, rapportant sous la chaumière
Des blessures et des vertus,
Venez fermer notre paupière
Quand les démons ne seront plus.


(Refrain)


( Un enfant )
De la Sainte Demoiselle
le sort nous fait envie ;
Au-delà de la – mort elle a vaincu.
Le lâche accablé d'ans
N'a point connu la vie :
Qui meurt pour le peuple a vécu.

Vous êtes vaillants, nous le sommes :
Guidez-nous contre les manants ;
Les Bretonniens sont des hommes,
Les victimes sont des enfants.


(Refrain)


( Une épouse )
Partez, vaillants époux;
Les combats sont vos fêtes;
Partez, modèles des guerriers;
Nous cueillerons des fleurs
Pour en ceindre vos têtes :
Nos mains tresserons vos lauriers.

Et, si le temple de la Dame
S'ouvrait à vos mânes vainqueurs,
Nos voix chanterons votre bonheur,
Nos flancs porteront votre grande âme.


(Refrain)


( Une jeune fille )
Et nous, sœurs des héros,
Nous qui de l'hyménée
Ignorons les aimables nœuds ;
Si, pour s'unir un jour
A notre destinée,
Les Bretonniens forment des vœux,

Qu'ils reviennent dans nos murailles
Beaux de gloire et de liberté,
Et que leur sang, dans les batailles,
Ait coulé pour l'humanité.


(Refrain)


( Trois guerriers )
Sur le fer devant Jeanne,
Nous jurons à nos pères,
À nos épouses, à nos sœurs,
À nos dignes écuyers,
A nos fils, à nos mères,
D'anéantir les oppresseurs :

En tous lieux, dans la nuit profonde,
Menaçant la Royauté,
Les Chevaliers donnent au monde
Et la paix et la liberté.


( Chant des guerriers (Refrain) )
La Royauté nous appelle
Sachons vaincre ou sachons périr
Un Breton doit vivre pour Elle
Pour Elle un Breton doit mourir. ( bis les deux dernières phrases )

----------------------------------------------------------------------------------------------------------

Postface : Voici qui termine ma trilogie des hymnes du vieux monde. Si l'inspiration me vient j'en ferais peut-être d'autre plus tard.
En ce qui concerne la Marseillaise et le Chant du partisant leur esprit colle plutôt bien à la nation en question; et dans ce dernier cas je n'ai eu que peu de retouches à faire ( contre un certains nombre dans la Marseillaise ). En revanche, c'est avec une certaine ironie que j'ai transformé le Chant du Départ, pro-Républicain et anti-royaliste en un chant pro-royaliste...
Chacune de ses trois chansons ont leur propres thèmes mais certaines valeur historiques se retrouvent; par exemple quand on ne parle pas de bouter le chaos ou les gobs ( ce que font les trois ) on parle d'autre types d'ennemis : les bretonniens pour l'Empire ( " Portez ou retenez vos coups ! Epargnez ces tristes Bretoniens A regret s'armant contre nous ! " ) et vice-versa ( " Tremblez, ennemis de la Couronne, Chefs ivres de sang et d'orgueil ! " ). J'espère que le décryptage ne sera pas trop dur.
Si d'aventure vous auriez d'autres idées pour des hymnes ( ou autre ) des différents pays, n'hésitez pas. Smile
Plix-Raph
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